284, c’est le nombre demandes de devis reçues dans la journée du 25 février 2022 pour la construction d’un abri anti-atomique… sans compter les appels téléphoniques qui ont saturés notre standard.
À l’heure où les sanctions économiques et la rencontre avec notre chef d’état font figure d’épée de bois face au géant russe et ses missiles balistiques intercontinentaux “Sarmate” de 50 mégatonnes (2000 fois la puissance libérée par les bombes larguées sur Hiroshima et Nagasaki), les Européens découvrent assez tardivement que leur continent est à la périphérie du monde dans la nouvelle guerre froide entre le bloc Sino-Russe et les USA et que la France — contrairement à ses voisins — ne dispose d’aucune politique en matière de protection des populations civiles cas de risque nucléaire.