Un lieu pour se mettre en sécurité… pour quoi faire ?

C’est une question à laquelle la réponse devient de plus en plus évidente. Il n’y a pour cela qu’à allumer son poste de télévision à l’heure des “informations” pour comprendre que les risques et menaces sont nombreux et qu’ils sont réels. Pour chacun d’eux, il y une réponse technique adaptée :

  • Les pièces de panique ou panic-rooms sont des pièces blindées temporaires conçues pour faire face à une intrusion au domicile (cambriolage, home-jacking, enlèvement… ) ou dans une entreprise (cambriolage sous la menace, extorsion… ). Elles offriront une protection contre l’effraction et le tir aux armes à feu le temps que les secours arrivent.
  • Les abris anti-roquette ont pour vocation de protéger des effets directs d’un tir direct. Ils se caractérisent par une enveloppe structurelle renforcée de préférence voutée ou trapézoïdale, un toit renforcé, l’absence d’ouverture ou des ouvertures protégées par des volets coulissants blindés et une protection explosive (portes anti-souffle, arrivées et sorties d’air).
  • Les abris climatiques offrent un refuge temporaire contre des événements naturels (tornade, ouragan…). Ils sont principalement souterrains pour éviter les dégâts liés aux projections et peuvent être équipés de systèmes complexes, notamment lorsqu’ils doivent fonctionner en mode confinement total (dans le cas d’un feu de forêt par exemple).
  • Les abris de protection civile ou abris anti-retombées appelés plus communément abris anti-atomiques ou bunkers antinucléaires sont par définition souterrains, et possèdent des caractéristiques propres à la protection contre les effets indirects d’une explosion nucléaire et contre tout événement à caractère NRBC (portes anti-souffle, filtration NRBC… ).

Pour plus de détails concernant les différents types d’abris, consultez nos FAQ bunker et FAQ panic room.

La construction d’un bunker anti-atomique se justifie t-elle aujourd’hui ?

Si la guerre froide est loin dans nos esprits, le risque d’incident nucléaire n’a jamais été aussi plausible. En effet, les centrales atomiques sont si proches de nos maisons que nous avons appris à vivre à côté sans plus nous soucier des risques nucléaires. Ainsi, pour la plupart des français le nucléaire serait devenu une énergie “propre” qui ne se voit pas, que l’on ne sent pas.

Nous avons presque oublié que la France est l’un des pays le plus nucléarisé avec 58 réacteurs en fonctionnement. Malgré les efforts de l’exploitant, les installations sont vieillissantes. Les accidents se multiplient et la France compte un nombre très insuffisant d’abris au regard de la population (seulement 1000 abris anti-atomiques pour les 67 millions de Français). Hors la portée d’une catastrophe de type Fukushima menacerait les populations dans un rayon de 100 kilomètres.

Pourtant notre voisin proche, la Suisse, a su imposer par les articles 45 et 46 de la loi fédérale sur la protection de la population et sur la protection civile, que chaque habitant dispose d’une place protégée dans un abri qu’il puisse regagner dans un délai raisonnable. Les propriétaires ont donc l’obligation de réaliser, d’équiper et d’entretenir des abris anti-atomiques pour toute construction de bâtiments à usage privé, professionnel ou public.

Ainsi, avec ses quelques 300.000 refuges et plus de 5.000 abris publics pour un total de près de 9 millions de places, la Suisse dispose d’un taux de couverture de 114% de sa population. Comparé à nos voisins helvétiques, notre taux de protection nucléaire est proche de 0%.

L’abri souterrain n’est pas en lui-même une idée nouvelle. De la préhistoire au moyen âge, l’homme a toujours trouvé refuge dans des grottes, cavernes et autres donjons. Avec les risques associés au réchauffement climatique, le bunker moderne pourrait bien retrouver sa fonction d’origine. En effet, la fonte du permafrost, la montée des océans, les canicules de plus en plus longues et fréquentes, les catastrophes climatiques (tempêtes, tornades, cyclones, glissement de terrain, avalanches…) en nombre croissant nous rappellent la réalité de l’effet de serre et ses conséquences destructrices sur notre planète. Dans ce contexte, le recours à le construction d’un bunker personnel se justifie pleinement.

Pourquoi construire une pièce de panique ou panic room  ?

Ces derniers mois, les économistes semblent s’entendre de manière unanime sur l’imminence d’une crise financière sans précédent : endettement record des états, crise des crédits étudiants aux USA, shadow banking, faillite des banques/entreprises et taux de chômage record consécutifs à la crise sanitaire… Partout dans le monde la contestation sociale et l’animosité envers les riches montent. Le monde moderne est si dépendant de l’énergie et des approvisionnements externes en flux tendus que sa fragilité commence à paraître évidente chez un nombre croissant de personnes.

Suite à la pandémie, la France voit le nombre de faillites d’entreprises exploser et il est à prévoir sans surprise que les années à venir seront marquées par une augmentation du chômage et un appauvrissement de la population. Dans ce contexte hautement explosif socialement, il est à prévoir une augmentation des violences, des vols, escroqueries, cambriolages…

C’est pourquoi une panic room vous dissimulera en cas d’agression à votre domicile (home-jacking, tiger kidnapping…) ou du chaos social résultant de l’effondrement de la société (insurrection, guerre civile, pillage).

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