Travailler dans l’univers des crypto-monnaies ou être “influenceur” n’a décidément rien d’un métier sans risques, surtout par les temps qui courent. Ce vendredi 4 juillet 2025, Soraya Riffy, figurante remarquée (à défaut d’être remarquable) de l’émission “Touche pas à mon poste” diffusée sur C8 et mannequin influenceuse suivie par plus d’un million d’abonnés sur Instagram, a été la cible d’un home-jacking d’une grande violence. Ligotée, rouée de coups, puis aspergée d’eau de javel, la jeune femme a vécu un calvaire d’une heure chez elle, à Marseille.
Un scénario d’horreur qui aurait sans doute pu être évité si son domicile avait été équipé d’une simple porte blindée anti-effraction ou, mieux encore, d’une panic room. Un espace sécurisé lui aurait offert la possibilité de se retrancher, empêchant ainsi ses agresseurs de pénétrer chez elle et lui infligeant ces violences physiques et un traumatisme psychologique indélébile.
Trop souvent, il faut attendre de subir l’irréparable — qu’il s’agisse d’une agression ou de dégradations matérielles — pour réaliser que la sécurisation physique de son habitation représente un investissement minime, au regard des conséquences évitées.
Ce fait divers nous le rappelle cruellement : la violence frappe sans prévenir, avec ou sans distinction, par vengeance, par cupidité ou par simple opportunisme. Aujourd’hui, disposer d’une pièce de panique blindée n’est plus un privilège réservé aux personnalités publiques. Elle devient une nécessité pour toute personne désireuse de protéger sa famille. Ces dispositifs de protection ne relèvent plus du luxe, mais du simple bon sens.
Ne laissez pas un drame comme celui-ci se reproduire. Si vous souhaitez découvrir nos solutions de sécurisation physique, demandez maintenant votre devis de panic room.